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  • : le blog orcatheatre
  • : Une présentation non-exhaustive des activités de la Compagnie Orca Théâtre
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ORCATHEATRE
25 rue du Crimeau
77620 EGREVILLE
01 64 29 61 67
orcath@club-internet.fr

La presse

Pantalon et le spectre

TELERAMA

    Retour d'un spectacle très original avec deux personnages masqués. La variation sur un thème classique de comédie (la servante maligne roulant son vieux grippe-sou de maître dans la farine) est enrichie par le choix de masques inattendus, l'un balinais, l'autre issu de la commedia dell'arte. On aime les dialogues en pointillés entrecoupés de mimes, les effets comiques irrésistibles.
                        Henriette Bichonnier

L'ECHO RÉPUBLICAIN


    Cette représentation a fait revivre  le personnage éternel du grigou, du pingre, filouté par une servante astucieuse. Enfants et adultes ont pris le même plaisir à voir évoluer Pantalon et Sylvette, sortis tout droit de la commedia dell'arte dont ils ont emprunté la façon de jouer qui mêle le dialogue au mime...
    ... Humour et tradition, tels sont les mots qui revenaient le plus souvent dans la bouche des spectateurs, après la représentation, en attendant avec impatience une nouvelle création de ce groupe talentueux.

Vidéo "Dérapage Nocturne"

14 novembre 2010 7 14 /11 /novembre /2010 14:40

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Chroniques de vies de pirates

Création de Jonathan et Catherine Hayes


avec Jean-Marie Gérintes (musique et interprétation), Jonathan Hayes et Catherine Hayes

Tout public à partir de 9 ans

Résumé :
Jack Rasty, un gamin de Dartmouth Bay, en Angleterre, cherche à embarquer sur un navire marchand.
Le sort en décidera autrement, et il deviendra pirate, sans vraiment l’avoir voulu.
Sa route croisera des pirates, célèbres ou non, et une femme pirate, Grace. Ensemble, ils parcourront les mers, faisant fi des dangers.


Notes :
Autant le dire tout de suite, nous ne souhaitons pas refaire “Pirates des Caraïbes” au Théâtre. Nous n’avons ni les moyens, ni le désir de surenchérir sur ces grandes fresques.
La magie du théâtre est celle de la proximité, de l’intimité avec le spectateur.
Nous avons tous frissonné au récit de ces vies d’aventures, de combats et souvent de morts.
Notre propos est de  suivre la vie d’un “moussaillon” enrôlé de force dans la marine, devenu pirate par force et nécessité, tout au long de sa vie.

Pour cela, nous visiterons certains mythes de la piraterie et nous attacherons surtout au quotidien de ces “gueux de mer”, aux dangers, à l’ennui de la vie quotidienne et des corvées, au fouet, aux femmes parfois, à la folie, aux superstitions des gens de mer  (dont le théâtre a hérité ).
Nous suivrons l’itinéraire de cet enfant peu gâté sur les Hautes Mers, bravant tempêtes et soldats du Roi pour une vie de misère, souvent bien éloignée du coffre aux trésor.

Scénographie:
L’histoire est jouée sur un espace incliné, sorte de pont de bateau de 3 m  sur 3.
Une trappe symbolise l’écoutille et permet les entrées et sorties des personnages.
Cet espace restreint est également le symbole de l’étroitesse du lieu de vie des marins par rapport à l’immensité sur laquelle ils circulent.
Toute leur vie se joue là. Leur mort aussi.

Le spectacle se décline en plusieurs tableaux, parfois joués à deux, parfois contés.
Le fil rouge de l’histoire est Jack Ratsy, pirate plus ou moins consentant, tantôt féroce, tantôt prisonnier, ballotté dans sa vie comme sur les flots. Il est symbolisé par une marionnette quand il est jeune.
Nous le suivrons dans son périple, tour à tour, marin, pirate, amoureux, abandonné, prisonnier, heureux et malheureux.
Les faits relatés dans l’histoire sont presque tous vrais. C’est, à notre avis, ce qui fait son intérêt.

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